Il fallait savoir saisir ce don venu du ciel et ces conditions : 15 cm de neige un peu ventée tombée la veille et un gros refroidissement à la suite
Et on y était ! Claude, Isabelle, Gaëlle, Patrice, Paul, Jean, Olivier, Serge, François
Arrivée samedi dans Valloire qui n’avait plus vu de neige depuis…au moins 3 semaines. Paysage de rêve : neige sur les toits des chalets, neige collante à la route, arbres chargés et grand ciel bleu
Au final, nous avons fait le programme prévu :
samedi la combe de Beaujournal pour monter au Crey Rond, qui est la combe précédent celle bien connue qui mène aux Ratissières et à l’Epaisseur. Accessible depuis le hameau du Serroz, nous sommes partis quasiment skis aux pieds du camion, sur la route et entre les chalets
Dimanche la crête d’Argentière depuis Les Réaux sur la route du col du Galibier
On oubliera vite que l’on n’aura pas vu les aiguilles d’Arves de l’antécime de la crête d’Argentière – eh oui une crête c’est long et on n’en voit pas le sommet…
Traçage en règle ces 2 jours, descente dans une neige poudreuse quoiqu’un peu lourde parfois en zone d’accumulation, vu une meute de chamois au loin, un hébergement très sympathique et très confortable, du soleil, du froid, voilà ce que nous retiendrons de ce week-end. Et je retiendrais en plus un groupe très sympathique !
François Gantzer
Et on y était ! Claude, Isabelle, Gaëlle, Patrice, Paul, Jean, Olivier, Serge, François
Arrivée samedi dans Valloire qui n’avait plus vu de neige depuis…au moins 3 semaines. Paysage de rêve : neige sur les toits des chalets, neige collante à la route, arbres chargés et grand ciel bleu
Au final, nous avons fait le programme prévu :
samedi la combe de Beaujournal pour monter au Crey Rond, qui est la combe précédent celle bien connue qui mène aux Ratissières et à l’Epaisseur. Accessible depuis le hameau du Serroz, nous sommes partis quasiment skis aux pieds du camion, sur la route et entre les chalets
Dimanche la crête d’Argentière depuis Les Réaux sur la route du col du Galibier
On oubliera vite que l’on n’aura pas vu les aiguilles d’Arves de l’antécime de la crête d’Argentière – eh oui une crête c’est long et on n’en voit pas le sommet…
Traçage en règle ces 2 jours, descente dans une neige poudreuse quoiqu’un peu lourde parfois en zone d’accumulation, vu une meute de chamois au loin, un hébergement très sympathique et très confortable, du soleil, du froid, voilà ce que nous retiendrons de ce week-end. Et je retiendrais en plus un groupe très sympathique !
François Gantzer
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