Un temps idéal pour randonner, pas trop chaud, relativement ensoleillé dans des paysages magnifiques.
Nous sommes arrivés le 1er jour en fin de matinée à la calanque d’Ensuès La Redonne, à l’ouest de Marseille. Ces calanques sont méconnues mais sont également magnifiques. De là nous sommes partis vers les calanques des Anthénors, de Figuères où nous avons pique-niqué sur la digue, de Méjean et avons poursuivis en direction de celle de l’Erevine avant de revenir sur nos pas avant la nuit.
Après une nuit réparatrice à l’auberge de jeunesse de Marseille Bois Luzy, qui est en fait un ancien château, nous voici repartis pour une journée de randonnée vers les calanques de Sormiou et Morgiou. Passé le col des Baumettes, la calanque de Sormiou se découvre peu à peu. Nous remontons les hauteurs qui la séparent de sa voisine et poussons vers le cap Morgiou ou nous mangeons en plein soleil dans un paysage grandiose. Ensuite nous tangentons la calanque de Morgiou que nous apercevons sous nos pieds puis retour vers le col des Baumettes dans une nature sauvage encore très fleurie. Nous finissons par un peu de tourisme auprès de la "Bonne Mère" c'est à dire la basilique Notre Dame de la Garde qui domine Marseille.
Samedi 13 novembre nous démarrons de la calanque de Callelongue, là où la route se termine et montons par le vallon St Michel jusqu’au sommet du Marseilleveyre (433m) par un temps magnifique. De là nous jouissons d’une vue à 360° sur la baie de Marseille et sur les calanques. Le retour s’effectue par le Grand Malvallon jusqu’à la calanque de Marseilleveyre puis retour à Callelongue par le bord de mer.
Pour le dernier jour nous avons posé notre minibus à Cassis et de là avons cheminé vers la profonde calanque de Port Miou (1,4 km de long) puis tiré jusqu’à celle de Port Pin et enfin avons longé par le haut la calanque d’En Vau où nous avons pu admirer ses eaux vertes et les nombreux alpinistes qui s’attaquaient à ses falaises.
Notre groupe de 9 personnes était très sympa avec de bonnes parties de rigolades, dont le pas de danse de notre encadrante, Annie-Claude, avec une jupe sur un tronc d’arbre ! Que de bons souvenirs en perspective.
Jean Louis
Nous sommes arrivés le 1er jour en fin de matinée à la calanque d’Ensuès La Redonne, à l’ouest de Marseille. Ces calanques sont méconnues mais sont également magnifiques. De là nous sommes partis vers les calanques des Anthénors, de Figuères où nous avons pique-niqué sur la digue, de Méjean et avons poursuivis en direction de celle de l’Erevine avant de revenir sur nos pas avant la nuit.
Après une nuit réparatrice à l’auberge de jeunesse de Marseille Bois Luzy, qui est en fait un ancien château, nous voici repartis pour une journée de randonnée vers les calanques de Sormiou et Morgiou. Passé le col des Baumettes, la calanque de Sormiou se découvre peu à peu. Nous remontons les hauteurs qui la séparent de sa voisine et poussons vers le cap Morgiou ou nous mangeons en plein soleil dans un paysage grandiose. Ensuite nous tangentons la calanque de Morgiou que nous apercevons sous nos pieds puis retour vers le col des Baumettes dans une nature sauvage encore très fleurie. Nous finissons par un peu de tourisme auprès de la "Bonne Mère" c'est à dire la basilique Notre Dame de la Garde qui domine Marseille.
Samedi 13 novembre nous démarrons de la calanque de Callelongue, là où la route se termine et montons par le vallon St Michel jusqu’au sommet du Marseilleveyre (433m) par un temps magnifique. De là nous jouissons d’une vue à 360° sur la baie de Marseille et sur les calanques. Le retour s’effectue par le Grand Malvallon jusqu’à la calanque de Marseilleveyre puis retour à Callelongue par le bord de mer.
Pour le dernier jour nous avons posé notre minibus à Cassis et de là avons cheminé vers la profonde calanque de Port Miou (1,4 km de long) puis tiré jusqu’à celle de Port Pin et enfin avons longé par le haut la calanque d’En Vau où nous avons pu admirer ses eaux vertes et les nombreux alpinistes qui s’attaquaient à ses falaises.
Notre groupe de 9 personnes était très sympa avec de bonnes parties de rigolades, dont le pas de danse de notre encadrante, Annie-Claude, avec une jupe sur un tronc d’arbre ! Que de bons souvenirs en perspective.
Jean Louis
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