La montée vers le Rouget n'est pas si facile : beaucoup d'arêtes secondaires rendent la recherche du départ de la voie malcommode.
La traversée est très longue : c'est une succession de rochers délités, de piles d'assiettes et de sections en bon rocher, avec un rappel équipé (derrière la grande écaille) . Les passages les plus durs ne dépassent pas le 4 sup et sont bien protégés par quelques vieux goujons. L'itinéraire n'est pas évident à suivre : le Rouget, c'est bien sympa, mais c'est plein d'arêtes.